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JEFFERSON Alice Quinn dite Jeff' • seize – première • née le 13 octobre 1993 à Chicago • américaine d'origine irlandaise • bisexuelle

Quelques squelettes dans le placard ?

Famille : 6 lignes min.

Alors ouais. La pluspart des élèves ici sont issus de riches familles tellement friquées qu'elles ne savent pas comment dépenser leurs thunes. En gros, des gros bourges, voire aristos. Je n'échappe pas à la règle à part peut-être que c'est mon père qui paie, et sachant que je vis pas avec lui depuis qu'il s'est cassé avec sa secrétaire, je n'ai pas grandi avec une cuillère d'argent dans la bouche. Ma mère est alcoolique depuis que mon bouffon de paternel s'est barré, alors bon depuis mes 5 ans, je connais l'alcool et ses effets. Au départ je refusais de faire comme elle, mais bon ça a bien changé.
Mon père ? Franck Harry Jefferson, un riche businessman d'origine irlandaise qui a fait fortune aux states. Un bon connard si vous voulez mon avis. Je le vois un noël sur deux, histoire qu'il me voit grandir et qu'il oublie pas trop ma gueule. C'est peut-être aussi histoire qu'il culpabilise pas trop. Bah, rien à foutre, au moins il me file du fric. Tant que j'ai assez pour payer ma vodka et mon paquet de Malboro, ça me va.
Ma reum ? Une pauvre victime de la vie qui avant était une gentille prof d'université. Doris Adam, qu'elle s'appelle. Tss... se faire avoir par un branleur et se laisser aller comme ça. Elle craint. Je ne rentre jamais à la maison à cause de cette tarée bourrée 24h sur 24. En plus elle veut que j'ai des notes potables. Elle a fumé quoi là ?
Sinon y a mon grand frère Felix qui a 24 ans. Ce mec gère, c'est le seul de ma famille de merde que je peux saquer. Depuis qu'il s'est barré de la baraque à 17 ans, je m'ennuie ferme.

Histoire : 10 à 15 lignes min.

Avant de pouvoir parler de ma naissance, il vaut mieux d'abord expliquer le contexte dans lequel elle a eu lieu. Comme décrit plus haut, j'ai un grand frère Felix, mais je devrait plutôt dire "demi-frère". Pour moi ça n'a jamais rien changer, mais pour mon père, si. Il n'a jamais accepter Felix en tant que fils, ni le fait que sa femme ait eu un enfant avec son ancien mari en fait. Lorsque ma mère était enceinte de moi, il rêvait d'avoir un héritier qui pourrait le remplacer. Pas de bol, c'est une fille qui est sorti. Il a limite voulu un avortement lors de la nouvelle, mais Doris n'était soumise à ce point. D'ailleurs celle ci était l'épouse la plus cocufiée de la terre, mais elle n'apprit la nouvelle que cinq ans plus tard, assez pitoyable en fait. Le seul but du mariage de mes parents, du moins pour mon père (ma mère était amoureuse de ce connard), c'était d'avoir un héritier. Alors devinez l'ambiance dans laquelle je vis le jour. Mon frère Felix, qui a 8 ans, était détesté par le mari de sa maman et puis moi la petite enfant si tendrement désirée qui décevait mon paternel rien qu'en existant. Alors oui, ma naissance ce fit dans la joie et dans le bonheur, et ce vendredi 13 octobre 1993 fut le premier jour de ma vie.
Mon enfance se passa assez mal, les quelques rayons de bonheur causés uniquement grâce à mon frère. C'était la seule raison de mon existence. Lors du divorce de mes parents, je venais de fêter mon cinquième anniversaire. Ce fut donc un merveilleux cadeau de voir mes parents s'entre-déchirer, ma mère se prendre cuite après cui qui me regardait comme si c'était de ma faute, en nous injuriant Felix et moi, quand on osait la regarder. Et mon père, jamais à la maison qui faisait je ne sais quoi avec tout le monde, empirait la situation car ma mère devenait de plus en plus colérique, et buvait tout le temps. Malgré la situation, la garde fut donné à ma mère, car mon père refusait de nous prendre. Il paya très cher un des meilleurs avocat de la ville pour éviter de nous avoir sur le dos. On déménagea donc à Boston, près de là où habitait ma tante Zelda. Elle doit être la seule personne sensée de la famille, même si elle se drogue. D'ailleurs, c'est en fouillant dans ses placards que j'ai compris ce que voulait dire être shootée. Un joli moyen d'escapade et d'illusion qui pouvait donner un quelconque sens à ma vie.
Mon père pour déculpabiliser me voyait une fois tous les deux ans à noël, et à chaque fois je rencontrai ses différentes petites amies, toutes aussi blonde-botoxée avec de gros nichons, que les autres. Il me file pas mal de fric à chaque fois, et plus les années passaient plus je m'en contre fichait de lui, et ma colère s'est transformée en indifférence, parce qu'au fond, les gens sont tous des cons. J'ai appris à vivre dans notre quartier craignos, et pour me défendre je prenais des cours de kungfu. Évidemment ma mère ne put les payer, ce fut ma tante qui me les offrit. Lors du départ de mon frère, j'avais 9 ans, et je vécu mal son abandon, surtout avec ma mère hystérique. Mais ses nombreuses visites m'apaisèrent et je comprenais mieux que quiconque son besoin de partir. Il n'était pas destinées aux grandes études, qui pouvaient lui payer ? Mais c'était un mec brillant, un pur génie. Il obtint une bourse à Columbia et il me promit qu'à sa sortie, la première chose qu'il ferait, ce serait d'acheter une maison pour qu'on emménage ensemble. Plus le temps passait, plus je me rendait compte que je ne pouvais pas le garder pour toujours auprès de moi, et c'est ainsi que quand mon père m'inscrit dans cette école privée, Waverly Academy, je ne refusai pas. Tout ce je voulais c'était sortir de mon trou et surtout m'éloigner de ma mère.

Me, myself & I

Physique :6 lignes min.

Alice ne bat personne au niveau de l'originalité de l'apparence physique. Du moins, de loin. Une jeune fille de taille moyenne possédant des cheveux bruns. Pourtant, si on regarde de plus près, on peut observer un corps mince mais un peu trop frêle, une peau plus que pâle. Et un regard... envoutant. Des yeux d'une couleur plutôt originale, gris. Elle peut faire penser à une poupée, avec ses yeux de biche et son nez droit, son teint diaphane et son tour de taille peu élevé.
La jeune demoiselle se démarque avec un style vestimentaire qui peut sembler provocant. Jeans troués, clous, beaucoup de noir, des t-shirt aux messages hardcore. Sur le visage, du khôl à outrance, un rouge à lèvre trop rouge. Au final, la jolie Alice sort du lot, et personne ne peut détacher son regard quand elle rentre dans une pièce.

Caractère :8 lignes min.

La jeune demoiselle Jefferson a un physique qui crie "rebelle", une apparence qui laisse désirer un fort goût pour le "hors-la-loi". Alice n'aime et ne suit aucune règle. Elle ne supporte pas être contrôlé. Personne ne peut lui dire ce qu'elle doit faire, c'est une personne très indépendante. Elle a apprit la cruauté de la vie, et qu'"on n'est jamais mieux servi que par soi-même". Quand elle fait des choses, elle les fait seule. Elle ne dépend de personne, et le jour où ça lui arrivera, ce sera le début de la fin. Une solitaire pure et dure, bien ancrée dans son âme. La seule personne où elle peut se permettre d'être "faible" d'après elle, c'est son grand frère. Mais déjà, elle ne tient pas à être un fardeau ainsi, elle sait tout à fait comment se débrouiller seule.
Alice est certes indépendante mais elle n'est pas froide et distante pour autant. Il est vrai que pour elle l'échelle sociale n'a aucun sens, que les gens superficiels l'horripile mais elle accepte de s'entourer de quelques amis. Elle ne demande rien de leur part, si ce n'est le respect de son indépendance, et comprend tout à fait que les amis viennent et partent.
Alice a un humour très décalé. Elle adore les défis, et si un jour vous oseriez lui demander quelque chose comme grimper sur le toit ou baignade improvisée dans le lac, elle le ferait sans hésiter. Enfin après avoir ingurgiter une certaine dose d'alcool ceci dit. C'est une junkie qui s'assume, et elle fume joint par joint pour se prouver qu'elle est bel et bien vivante.

Phobies : de se trouver un jour dépendante de quelqu'un.
Plus grande vertu ? un certain sens de la justice, et une sa oyauté envers les rares personnes qu'elle considère comme amie.
plus grand péché ? être une salope avec les gens "qu'elle ne supporte pas", sa franchise parfois trop... franche.

Entretien avec un vamp mec un peu curieux

• Pourquoi avez vous rejoint l'école ? Mon père m'a inscrit et je n'ai pas protesté car cela me permet de m'échapper de ma connasse de mère.
• Votre Groupe ? Junkie
• Le voyage en bateau jusqu'à Providence mensuel, cool pas cool ? "Cool" (c'est quoi cette expression de merde ?). Je peux m'approvisionner de beuh, de clopes et d'alcool.
• Bon, bon c'était qu'une rumeur mais sinon le cimetière en général, vous en pensez quoi ? J'ai entendu parler du meurtre d'une fille. Ca ne m'empêche pas d'y aller pour fumer un joint avec d'autres drogués.

Sinon derrière l'écran ?

Pseudo et/ou Prénom : Mlle Papillon, mais Paps ça me va aussi.
âge&sexe: 15 & nana ;P
Personnalité de l'avatar : Kaya Scodelario
Comment avez vous connu le forum ? muahaha
Comment le trouvez vous ? il gère :)
Votre présence sur /7 ? 4-5/7 (sauf en vacances, en période d'examen ou voyage scolaire)
Code du règlement : ok by me :D